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La Vie Quercynoise Jean-Claude Bonnemère et Didier Quet...

Article interview Ternoise : 2013 à 2018 Pourquoi ce début et cette fin ?...


La Vie Quercynoise Jean-Claude Bonnemère Didier Quet : Ternoise (2013-2018) Pourquoi début & fin ?

M. Jean-Claude Bonnemère rédacteur en chef - Didier Quet élu de Barguelonne-en-Quercy et correspondant local de Presse
La Vie Quercynoise, hebdomadaire lotois aux racines chrétiennes, et Ternoise (2013-2018)
Pourquoi ce début & pourquoi cette fin ?



De 1997 à 2013, la porte de la Vie Quercynoise ne m'a pas semblé ouverte. J'en ignorais les raisons.
Je ne suis pas né dans ce département et son mode de fonctionnement m'a surpris.

En tout cas, sauf erreur ou omission, il n'y eut aucun article sur mes livres ni prise de position, que ce soit littéraire, politique, ou sociale. Et avec certitude, aucune interview.
Naturellement, je continuais à envoyer des communiqués.
Puis un jour de fin 2013, j'ai eu un retour, un intérêt pour mon livre sur Saint Jean-Gabriel Perboyre.
Du rédacteur en chef, M. Jean-Claude Bonnemère. Et j'ai rencontré un homme charmant, cultivé, attentif, un homme bien.
Et comme vous le savez, j'emploie rarement ce qualificatif.
L'interview fut publiée dans le premier numéro de 2014.

Fin 2015, après la sortie de l'essai "les villages doivent disparaître", il y eut ce qui semble avoir été considéré comme une interview de référence,
remarquée jusqu'à la préfecture, ce qui me valait des relations cordiales avec Mme Catherine Ferrier, préfète du Lot arrivée dans notre département en avril de cette année-là, et désormais préfète du Tarn.

Il y eut malgré tout une commune nouvelle, et le soutien de Mme la Préfète du Lot me semble avoir été fondamental dans la création du salon du livre de Montcuq-en-Quercy-Blanc.
En 2016, suite à ma présentation publique de ce salon, ce fut le premier article de M. Didier Quet, le correspondant local, avec photo devant la mairie en compagnie de M. André Piolot, alors 2e adjoint.

C'était le premier contact avec M. Didier Quet, qui fit, je dirais, un "bon boulot de correspondant local", de manière très consciencieuse et précise.

Lors de ce premier salon du livre, M. Jean-Claude Bonnemère fit le déplacement.
Il est vrai qu'ils sont rares les salons dans notre département à être inaugurés par la ou le représentant de l'état, en l'occurance Mme Catherine Ferrier, préfète.
Je rencontrais ainsi pour la première fois M. Marc Gastal, conseiller général du canton.

Le jeudi suivant, la Vie Quercynoise publia un retentissant "le miracle de Montcuq avec le maire, l'écrivain et la préfète." Miracle entre guillement quand même.
Mais venant d'un hebdomadaire aux racines chrétiennes, il fallait oser. Si l'on ne devait retenir qu'un titre, ce serait celui-là.

En novembre 2016, je retrouvais M. Didier Quet, pour la présentation de la quatorzième édition du Prix littéraire du salon du livre du net, premier prix littéraire de l'année.
Naturellement, on peut en sourire qu'il ait fallu attendre 14 éditions pour avoir accès à cet hebdomadaire.

Quelques semaines plus tard, ma tentative de candidature à la Présidentielle 2017 n'était pas ignorée.
Nouvelle interview de M. Didier Quet. Pour ce mois de février 2017, le CSA me classait 28e parmi les candidats à la candidature...

Août 2017, une interview d'annonce du salon du livre puis un compte-rendu du salon, avec une belle interview de Gérard Glatt, invité d'honneur.

Novembre 2017, je retrouvais M. Didier Quet, pour la présentation de la quinzième édition du Prix littéraire du salon du livre du net, premier prix littéraire de l'année.

Juillet 2018, présentation dans une salle de la mairie, de la 3e édition du salon du livre.
Mme Jocelyne Mathieu, représentante de M. Le Maire, refusait de figurer sur la photo.
M. Didier Quet tournerait la légende de cette photo sans le signaler, je partage son choix.
Notant la présence des "auteurs locaux" et du directeur du Crédit Agricole autour des organisateurs.

Et début août, il y eut l'ultime article. Après ma rencontre avec M. Didier Quet devant la mairie. Et depuis rien.

Dimanche 12 août 2018, M. Didier Quet venait nous rejoindre, quand j'accueillais M. Marc Makhlouf, sous-préfet de l'arrondissement de Cahors et Secrétaire Général de la Préfecture.
Il constatait ainsi l'absence de la première adjointe, représentante de M. Le maire, bizarrement parti en vacances quelques jours plus tôt.
Quelques instants plus tard, j'accueillerai Mme Huguette Tiegna, députée du Lot, qui nous accordait l'honneur de sa première visite dans notre commune.

Mme Sabel arriverait plus tard. Et j'attendrais M. Aurélien Pradié député, et M. Marc Gastal, conseiller départemental.

Peu après 17 heures, M. Aurélien Pradié m'avait envoyé un SMS pour s'excuser de son absence.
Il avait été retenu par les festivités dans sa commune de Labastide-Murat.

Sauf erreur ou omission, M. Didier Quet n'a pas informé les lectrices et lecteurs de la Vie Quercynoise de ce qui s'est passé ce jour-là. Des vidéos témoignent.

Ensuite, La Vie Quercynoise n'a pas considéré important pour ses lectrices et lecteurs de m'interroger par exemple après le pitoyable mensonge en Conseil Municipal
« Jocelyne [Mathieu] signale que la subvention Salon du livre est supprimée (M TERNOISE ayant des propos injurieux envers les élus de la commune) » PV Conseil Municipal du 9 avril 2019

La Vie Quercynoise n'a pas considéré nécessaire de m'interroger sur l'Arrêt du salon du livre de Montcuq en Quercy Blanc en 2019.
Où le Président Français Hollande m'avait publiquement donné un accord de principe pour sa venue.
On peut ne pas le considérer comme un grand écrivain mais il aurait s'agit de la première venue dans notre modeste commune d'un Président, fut-il le précédent.

Ni de m'interroger sur l'arrêt du premier Prix littéraire du salon du livre du net, premier prix littéraire de l'année, après 17 éditions, en 2020.

Ni de m'interroger sur ma tentative d'opposer une liste à celle de l'équipe des installés lors des municipales 2020. Montcuq-en-QB fut la seule commune nouvelle lotoise où il n'y eut qu'une seule liste. Etonnant. Mais pas un mot.

Durant la période pré-électorale, fin 2019 début 2020, M. Didier Quet a donné la parole à quatre candidats,
M. Alain Lalabarde, Mme Marie-José Sabel, M. Patrice Caumon et Mme Jocelyne Mathieu.

Face à ce que j'ai appelé la "dictature rurale" où des installés se maintiennent par le mensonge et l'intimidation, je me suis naturellement également tourné vers la Préfecture et notre député. M. Jérôme Filippini, alors préfet m'a... accordé une interview dans le cadre de CAHORS TV et nous n'avons abordé le sujet Montcuq en QB qu'en off.
Quant à M. Aurélien Pradié il eut une merveilleuse réponse publique, sur Facebook :
« Vos affaires locales ne me concernent en rien. » .

C'est bien le choix de la Vie Quercynoise de ne pas en avoir dit un mot. Il faut certes se souvenir qu'Aurélien Pradié n'était pas encore député qu'il pouvait déjà se permettre de signifier à La Vie Quercynoise son mécontentement des questions qui lui étaient posées et pratiquer l'auto interview. Oui, un hebdomadaire où monsieur Pradié fournit les questions et les réponses, c'est quand même nettement plus pratique. Ensuite, il ne faut peut-être pas s'étonner de mon absence dans les médias de notre pays.

Je ne suis pas responsable de cette absence de pluralité. Ni dans la Vie Quercynoise ni ailleurs.
J'ai toujours essayé de répondre aux demandes des médias.

Début 2020, je me suis même déplacé à Cahors pour solliciter M. Jean-Claude Bonnemère, qui m'a accueilli très cordialement, ne m'a pas semblé refuser de m'interroger ! Mais aucune interview ne fut diffusée. A ma connaissance.

M. Jean-Claude Bonnemère, M. Didier Quet, je vous remercie de l'attention que vous avez accordé, durant quelques mois, à mon passage sur terre, sur ces terres du Quercy.
2013 - 2018. Pourquoi ce début ? Pourquoi cette fin ? Je l'ignore.
D'un point de vue strictement local on peut sourire en observant.
En 2013, le décès de M. Daniel Maury, qui fut maire et conseiller général, a essayé d'être député.
En 2018, la reprise en main de cactus dans un gant de latex par son cousin, le cousin de Mme Maryse Maury, désormais élue au département.
Monsieur Lalabarde est même désormais vice-président de la communauté de communes avec les compétences du Patrimoine, ce qui peut de nouveau faire sourire.
Mais vous n'avez accordé aucune attention à mes alertes sur le patrimoine, dont la plus belle des gariottes ni à la gestion des cimetières.

Mais naturellement, ce ne sont que des similitudes de dates, on ne peut envisager qu'un hebdomadaire ayant une telle histoire puisse se laisser influencer par de petits notables. L’indépendance des médias est essentielle, surtout en France, terre des droits de l’homme, blabla blabla…

Même si M. Jean-Claude Bonnemère semble bien connaître M. Patrice Caumon, cela ne peut pas interférer dans sa mission d'intérêt général au service de l'information, de la démocratie.
Même si M. Didier Quet est conseiller municipal de la commune voisine de Barguelonne-en-Quercy.

Après avoir eu l’impression qu’il était proche de M. Daniel Maury, on pouvait sourire, en 2017, en lisant M. Didier Quet s'enflammer lors d'un message public sur facebook. A M. Aurélien Pradié, pourtant officiellement situé très loin sur l'échiquier politique du Parti du Patron de la Dépêche du Midi.
Mais bon, ce n'est peut-être pas l'essentiel. Il y a les installés nés ici et les autres. Bref
« Aurélien, merci de t'exprimer en notre nom.
On a besoin d'un député libre, qui défende bien les intérêts des lotois, et non d'un député soumis.
L'assemblée nationale n'est et ne doit pas être une secte ou un clan. Continue ainsi. Amitiés, Didier. »
Je ne tutoie ni M. Quet ni M. Pradié.

En 2020, M. Didier Quet m'a semblé soutenir radicalement M. Jean-Marc Vayssouze-Faure, publiquement.
On peut se demander ce qu'il fera en 2022 si les deux hommes s'affrontent aux législatives.

M. Jean-Claude Bonnemère se souvient peut-être d’une de mes réponses du genre :
« Je suis arrivé début 1996 dans une petite commune de 150 habitants.
Mes premières remarques publiques témoignaient de ma surprise et interrogeaient sur l’absence de protection de la source alimentant la station d’eau municipale, un agriculteur déversant pesticides et nitrates jusqu’à quelques mètres du point de captation.
Ma « mauvaise réputation » semble partie de cette préoccupation !
J’ai eu l’impression que le maire se considérait au-dessus de ses administrés et non à leur service.
J’arrivais, j’étais jeune et pauvre, je devais donc m’incliner devant toutes et tous.
Surtout pas contester des traditions locales et une hiérarchie fondées sur l’histoire quercynoise et l’argent.

J’ai pu me procurer le bilan de la qualité de l’eau distribuée en 2007 avec pour les nitrates la conclusion « au moins une valeur a dépassé la limite de qualité, cependant la teneur moyenne reste conforme à la norme. »
La norme c’était 50 mg/l et la moyenne 49,18 mg/l avec un maximum à 58,40 mg/l.
En septembre 2008 le maire suivant notait dans un conseil municipal « service de l’eau… suite au courrier de la DDASS… l’étude de protection des captages se monterait entre 10 000 et 40 000 euros par captage » et quelques mois plus tard l’eau passait à la Saur, et provient depuis du Boulvé, soit une dizaine de kilomètres à vol d’oiseau, avec augmentation vertigineuse du coût. (...)
J’ai souvent été tenté de partir. Je me suis éloigné un temps très court. Si j’en avais eu les moyens, j’aurais fait comme tant d’autres, cherché un endroit plus accueillant, plus culturel.
La vie en a décidé autrement.
Même à titre privé, j’ai subi des répercussions à mes propos pourtant guidés par un esprit républicain, par exemple par le refus municipal de réglementer la circulation devant chez moi, sur un chemin ne permettant pas le passage en toute sécurité des véhicules larges comme certains tracteurs
(plusieurs traces de peintures corroborent des accrochages). »

Si M. Jean-Claude Bonnemère ne s'en souvient pas, ce n'est pas grave.

Un jour, La Vie Quercynoise, dans sa rubrique des chiens écrasés trouvera peut-être la formule pour se réjouir dignement de l'arrêt de mon coeur.
Comme leur Dépêche du Midi, comme leur Contact Lotois, comme Dire Lot.
Ou l'ignorance leur semblera préférable.
Ce qui sera finalement la même chose.

Il n'est pas certain qu'il reste de mon activité des écrits qui justifieront qu'un jour on s'interroge sur la manière dont des élus et des médias se sont comportés face à mon approche spirituelle, déontologique, harmonieuse et Républicaine.
Il en fut ainsi. Elle est belle notre République !

J'ai souvent parlé de la mort. Il y eut "la disparition de Stéphane Ternoise".
Puis des poèmes qui pourraient devenir des chansons. Un hebdomadaire religieux aurait pu les considérer plus appropriés à la réflexion de ses lectrices et lecteurs que les paroles de M. Patrice Caumon.

Vidéo M. Patrice Caumon

Au revoir... J'ai témoigné. Un homme seul ne peut que témoigner.
Comme l'écrivait justement Gao Xingjian dans "Le livre d'un homme seul".
Il notait également « Dès qu'un individu était en situation d'accusé, on trouvait toujours quelque chose à lui reprocher, à partir de quoi on en faisait un ennemi... »

Que la sérénité soit en vous.

Poèmes sur la mort.




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Le 04 juillet 2020 à 10 : 10

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